Le monde célèbre le 10 décembre la journée mondiale des droits de l’homme. Au Cameroun, les défenseurs de l’environnement subissent toutes sortes de pression selon une coalition d’ONG locales qui mène une campagne contre la criminalisation des défenseurs des droits fonciers.
Intimidations, menaces de mort, interpellations arbitraires, abus d’autorité sont devenus leur lot quotidien. Mais sans relâche, ces femmes et ces hommes restent engagés dans leur combat souvent dans des zones rurales reculées.
« En réalité, on défend nos droits, c’est peut-être le gouvernement qui trouve que nous sommes des criminelles », explique Marie-Noël Etonde Mbella, présidente de la section féminine de Synergie nationale des paysans et riverains du Cameroun.
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Source : Farmlandgrab, VoA via le Land Portal