
Lors de la Conférence sur la politique foncière en Afrique (#CLPA2025), Nassim Oulmane, Chef de la Section des ressources naturelles, de l’économie verte et bleue à la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), explique comment le colonialisme a transformé la relation de l’Afrique avec sa terre et sa biodiversité. Il décrit une rupture écologique profonde marquée par l’extraction, la déforestation et la séparation forcée entre les populations et la nature — un héritage dont les effets persistent. Pour lui, les réparations doivent aussi être écologiques : restituer les droits fonciers aux communautés locales, valoriser les savoirs autochtones et promouvoir une conservation menée par celles et ceux qui vivent avec la faune.
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