La propriété à Rio de Janeiro de l’ex-président de la Confédération brésilienne de football, des terres appartenant à un sénateur ou au ministre de l’agriculture : le Mouvement des paysans sans-terres (MST), au Brésil, a occupé ces propriétés ces derniers jours dans le cadre de sa campagne «Corrompus, rendez-nous nos terres». 15 000 membres ont pris part à ces actions emblématiques du combat de ce mouvement pour les paysans pauvres du Brésil.
Ces opérations interviennent alors que le président Michel Temer fait face à la menace d’un procès pour corruption. Son sort dépend des députés qui peuvent le renvoyer vers la Cour suprême lors d’un vote le 2 août. Parmi les 513 députés, 211 sont directement liés au puissant lobby de l’agrobusiness. Or, depuis plusieurs mois, le gouvernement brésilien a pris une série de mesures allant dans le sens des intérêts de ce secteur économique incontournable dans le pays.
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Source : farmlandgrab
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