« L’insécurité foncière est la pire des tares que le Bénin traîne depuis des décennies. Le gouvernement, sans doute effrayé par la multiplicité des décisions de déguerpissement ou de démolition de maisons, dont certaines construites et habitées depuis plusieurs années, et ceci sur décisions judiciaires, a fait oeuvre salutaire en suspendant de telles opérations, et avec raison, nonobstant la sacro-sainte force de la chose jugée… ». Pour lire la suite de l’article de Léon Barthier paru dans l’édition du 16 octobre du journal L’autre Quotidien, cliquer sur le lien ci-dessous
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