Au Nord Cameroun, la pression migratoire, la superposition d’usages sur le sol, et l’abandon de la
gestion foncière aux chefferies, provoquent aujourd’hui des conflits d’intérêt entre des
communautés dont les pratiques et les stratégies s’opposent. Il conviendrait de les traiter
avant que ces litiges ne dégénèrent en des affrontements plus violents. Malgré un contexte
politique peu propice, des expériences de médiation à l’échelle de petits territoires ruraux
témoignent de la possibilité d’une intervention publique en matière de foncier, sans recours
systématique au Code foncier, et proche des «arrangements» usuels.
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