Ce texte tente d’évaluer la faisabilité d’une « bonne gouvernance » des aires protégées dans le Bassin du Congo. Elle montre que les normes officielles, considérées isolement, ne peuvent pas garantir la gouvernance des aires protégées. La gouvernance, en effet, ne se décrète pas. Au contraire, elle est la manifestation de l’usage syncrétique des règles officielles et des normes pratiques. Il est apparu que la gestion participative, perçue sous l’angle d’arrangements institutionnels façonnés par les parties prenantes peut permettre d’obtenir de bonnes performances. La mise en place d’institutions de cogestion n’étant qu’une étape du processus, ces performances sont étroitement liées à la capacité personnelle des leaders à faire usage des règles pratiques dans un environnement incertain et fluctuant.
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