Le contrôle du sol et de la rente foncière ne peut que renvoyer aux argumentaires territoriaux du gouvernement urbain. Dans le cas du Ghana et de sa capitale, ces enjeux se déclinent assez banalement selon les deux dimensions politiques et économiques de la gestion urbaine.Les performances du marché foncier, sous tutelle « purely traditional », apparaissent à géométries variables dans les exigences libérales-démocratiques qui pèsent, au Ghana comme ailleurs, sur la gestion de la ville.
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