Ce texte, paru dans le Bulletin de liaison du Laboratoire d’Anthropologie Juridique de Paris, n°23, juillet 1998 introduit les éléments de base d’une analyse des droits sur la terre et les ressources en terme de « maîtrises foncières ». La reconnaissance de l’existence sur une même surface de droits multiples appartenant à des personnes ou à des groupes différents permet de resituer ce que nous appelons « propriété privée » comme un simple cas particulier tout à fait exceptionnel. L’intérêt de cette théorie va bien au delà de la démarche du chercheur. Elle nous interpelle et offre des pistes de réflexion novatrices pour la construction de nouvelles formes de gouvernance du foncier, quel que soit le continent sur lequel on travaille.
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