Au cours des cinq dernières années, 50 à 80 millions d’hectares auraient fait l’objet de transactions foncières dans le Monde. Certains rapports publiés récemment indiqueraient même que sur les 10 dernières années, près de 200 millions d’hectares ont été vendus, loués, cédés ou font l’objet de négociations dans le cadre de transactions foncières à grande échelle. Les chiffres sont difficiles à estimer au vu de l’opacité des contrats réalisés, mais 70 millions d’hectares ont déjà fait l’objet d’analyses croisées, qui se fondent sur des données issues du terrain. Les mots différent pour qualifier ce phénomène : « accaparement de terres », « acquisitions ou appropriations à grande échelle », « privatisation et concentration foncière », « investissements fonciers », mais de plus en plus d’acteurs s’accordent sur la nécessité de réguler davantage ces dynamiques, dont les impacts sociaux, économiques et environnementaux sont encore mal appréciés.
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