La capitale du Mali présente un marché foncier tendu et segmenté, au sein duquel se développent de fortes concurrences de gestion. Héritière des règles juridiques coloniales et du principe de lotissement, l’offre administrative de parcelles à bâtir reste centrale, tout en imbriquant à une échelle fine des attributions « neuves » et des régularisations en « rattrapage urbain ». Sélections et régulations des clientèles se combinent ainsi pour expliquer une distribution sociale des propriétaires encore peu tranchée dans l’espace bamakois. Les deux processus continuent d’accentuer leurs effets respectifs au travers de nouvelles filières d’accès au sol que la donne politique et institutionnelle des années 1990 a plus récemment promues.
à la lettre d’info
archives
Agenda
du 01/11/2023Conférence sur le foncier de la Banque Mondiale
au 17/05/2024 du 25/04/2024Le CTFD et la GIZ organisent une session sur le pastoralisme à la prochaine conférence de la Banque Mondiale sur le foncier
au 18/05/2024 du 11/03/2024Colloque « Pour une nouvelle utopie foncière »
au 31/05/2024
Offres d’emploi
Aucune offre n’est disponible actuellement