Les communautés dénoncent les licenciements et les non renouvellement des contrats des filles et fils desdits villages alors que les contrats sociaux donnent priorité des emplois aux villages impactés, rapporte ce mercredi l’Ong Muyissi Environnement. Les mouvements d’humeur ont commencé depuis le 4 mars dernier avec la communauté du village Mbouko (village du département de Tsamba-Magotsi à 30 km de Mouila) qui avait érigé un barrage à l’entrée de la principale plantation d’Olam pour empêcher l’accès à l’ensemble des employés.
Une délégation d’Olam composée des responsables des ressources humaines et sociaux s’étaient rendus au village auprès du chef de regroupement de ce village pour entamer des pourparlers. N’ayant pas finalement honoré aux rendez-vous pris avec la communauté, eh bien ce lundi 11 mars, la communauté villageoise de Moutambe sane foumou (village du département de Tsamba-Magotsi à 19 km de Mouila) a emboîté le pas en érigeant plusieurs barricades à l’entrée de la Direction d’Olam palm Gabon, empêchant ainsi les employés de vaquer librement à leur travail.
Sources : Farmland grab / ONG Muyissi Environnement
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