Dans le cadre de la construction du barrage de Kandadji au Niger, l’État a prévu d’octroyer des baux emphytéotiques d’une durée de 50 ans aux détenteurs de terre, en compensation de la perte de leurs droits fonciers antérieurs. Cependant, comment l’État doit-il dédommager les détenteurs de droits d’exploitation en faire-valoir indirect ?
C’est l’objet de cette étude conduite selon une méthodologie participative. Elle propose d’accorder à ces exploitants des contrats d’exploitation de 5 ans renouvelable, avec des droits plus sécurisés que dans les contrats actuellement appliqués sur les périmètres irrigués au Niger.
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