A Madagascar, l’immatriculation a été plus développée que dans d’autres pays d’Afrique francophone. Les documents cadastraux sont en mauvais état. Cet article analyse en détail de le cas de la commune de Miadanandriana, où un guichet foncier a été mis en place récemment, dans le cadre de la nouvelle politique foncière malgache. L’essentiel des mutations foncières, sur des terres cadastrées ou non, a été formalisée sous formes de contrats relevant des contrats « sous seing privé », authentifiés par l’administration locale. Les auteurs argumentent que ces contrats sont légaux sur les terres immatriculées, comme sur les terres non immatriculées. Les pratiques locales de mutation sont à prendre en compte dans la perspective de la nouvelle politique foncière.
à la lettre d’info
archives
Agenda
du 25/06/2025Journée d’étude de l’IRAM : Développement des territoires pastoraux sahéliens et méditerranéens : quelles initiatives en réponse aux contraintes sociétales, économiques et climatiques ?
au 25/06/2025 du 17/09/20254th Mekong Regional Land Forum. Transformative Change for People, Land, and Climate in the Mekong
au 19/09/2025 du 07/10/2025Conférence CGIAR 2025 : Accélérer l’égalité dans les systèmes alimentaires, fonciers et hydrauliques
au 09/10/2025
Rejoignez-nous sur
LinkedIn